Dans le cadre de l’EMDR-IMO, (EMDR intégrative) aujourd’hui largement utilisée dans la prise en charge du psychotraumatisme, chaque séance suit un déroulé précis destiné à garantir la sécurité émotionnelle du patient.
Un cadre sécurisé pour accueillir des réactions parfois intenses.
Dès le début, le praticien installe un climat de confiance. Car ce type de thérapie peut raviver des émotions fortes : larmes, accélération du rythme cardiaque, sensations corporelles vives. Le professionnel anticipe ces manifestations et accompagne leur régulation afin que la séance reste à tout moment contrôlée et contenante.
Le récit du traumatisme, point de départ du travail.
Le patient est d’abord invité à décrire l’événement traumatique, en portant attention aux images, aux sensations physiques et aux émotions associées. Ce récit n’est pas un simple retour en arrière : il sert à activer la mémoire émotionnelle qui sera ensuite « retraitée » grâce aux mouvements oculaires.
Mesurer le niveau de stress pour suivre l’évolution.
Avant d’entamer les stimulations oculaires, le praticien évalue l’intensité du stress ressenti à partir d’échelles validées. Cette mesure initiale constitue un repère clair pour observer la diminution progressive de la charge émotionnelle au fil de la séance.
Les mouvements oculaires : cœur du protocole.
Une fois ces repères posés, le travail actif commence. En maintenant en tête une image significative de l’événement, le patient suit des séries de mouvements des yeux de droite à gauche. Cette stimulation bilatérale, propre à l’EMDR-IMO, facilite un retraitement neuro-émotionnel profond. Les séries se répètent jusqu’à ce que la personne ressente un apaisement notable : respiration plus calme, images moins oppressantes, recul émotionnel.
Des progrès parfois rapides.
Chez de nombreux patients, la désensibilisation se produit en quelques séances, parfois même en une seule. Cette rapidité est l’une des raisons pour lesquelles l’EMDR-IMO est aujourd’hui considérée comme une approche phare des thérapies brèves destinées au traumatisme psychique.
Au-delà des émotions : transformer les croyances négatives.
Le retraitement ne se limite pas à réduire l’angoisse. L’EMDR-IMO agit aussi sur les croyances négatives nées du traumatisme (« Je suis en danger », « Je ne vaux rien », « Je ne m’en sortirai pas »). Après les phases de désensibilisation, le praticien aide le patient à intégrer des croyances plus adaptées, en cohérence avec ses ressources actuelles. Cette étape modifie durablement la perception de l’événement et renforce la résilience.
Un cadre sécurisé pour accueillir des réactions parfois intenses.
Dès le début, le praticien installe un climat de confiance. Car ce type de thérapie peut raviver des émotions fortes : larmes, accélération du rythme cardiaque, sensations corporelles vives. Le professionnel anticipe ces manifestations et accompagne leur régulation afin que la séance reste à tout moment contrôlée et contenante.
Le récit du traumatisme, point de départ du travail.
Le patient est d’abord invité à décrire l’événement traumatique, en portant attention aux images, aux sensations physiques et aux émotions associées. Ce récit n’est pas un simple retour en arrière : il sert à activer la mémoire émotionnelle qui sera ensuite « retraitée » grâce aux mouvements oculaires.
Mesurer le niveau de stress pour suivre l’évolution.
Avant d’entamer les stimulations oculaires, le praticien évalue l’intensité du stress ressenti à partir d’échelles validées. Cette mesure initiale constitue un repère clair pour observer la diminution progressive de la charge émotionnelle au fil de la séance.
Les mouvements oculaires : cœur du protocole.
Une fois ces repères posés, le travail actif commence. En maintenant en tête une image significative de l’événement, le patient suit des séries de mouvements des yeux de droite à gauche. Cette stimulation bilatérale, propre à l’EMDR-IMO, facilite un retraitement neuro-émotionnel profond. Les séries se répètent jusqu’à ce que la personne ressente un apaisement notable : respiration plus calme, images moins oppressantes, recul émotionnel.
Des progrès parfois rapides.
Chez de nombreux patients, la désensibilisation se produit en quelques séances, parfois même en une seule. Cette rapidité est l’une des raisons pour lesquelles l’EMDR-IMO est aujourd’hui considérée comme une approche phare des thérapies brèves destinées au traumatisme psychique.
Au-delà des émotions : transformer les croyances négatives.
Le retraitement ne se limite pas à réduire l’angoisse. L’EMDR-IMO agit aussi sur les croyances négatives nées du traumatisme (« Je suis en danger », « Je ne vaux rien », « Je ne m’en sortirai pas »). Après les phases de désensibilisation, le praticien aide le patient à intégrer des croyances plus adaptées, en cohérence avec ses ressources actuelles. Cette étape modifie durablement la perception de l’événement et renforce la résilience.

EMDR et Hypnose
Cabinet d'EMDR Intégrative et Hypnose 75012 Paris






