Les antidépresseurs répondent à un problème cérébral, de « dosage » des neuro-médiateurs. Ils compensent donc une faiblesse, un vide.
Or, grâce à l’hypnose ericksonienne notamment, on a appris à observer les ressources du patient. Riches et dynamiques mais qu’il faut parfois activer, amplifier. Pour cela, l’alliance thérapeutique est importante c’est-à-dire la relation entre le thérapeute et son patient. Nous devons poser un cadre de sécurité à nos patients. Prendre le temps, revoir le patient – très rapidement dans certaines dépressions – et expliquer que la guérison est possible. Nous devons ACCOMPAGNER.
Et dans certains cas, nous devons utiliser aussi des techniques plus élaborées : l’hypnose, l’entretien de couple ou familiale, etc.
Site d'Emergences Rennes
Or, grâce à l’hypnose ericksonienne notamment, on a appris à observer les ressources du patient. Riches et dynamiques mais qu’il faut parfois activer, amplifier. Pour cela, l’alliance thérapeutique est importante c’est-à-dire la relation entre le thérapeute et son patient. Nous devons poser un cadre de sécurité à nos patients. Prendre le temps, revoir le patient – très rapidement dans certaines dépressions – et expliquer que la guérison est possible. Nous devons ACCOMPAGNER.
Et dans certains cas, nous devons utiliser aussi des techniques plus élaborées : l’hypnose, l’entretien de couple ou familiale, etc.
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